Un Road trip familiale en quête de sens
1 mois sur les routes de France pour découvrir comment vivre autrement
L’été dernier, nous avons voulu célébrer la naissance de bébé Max et nous faire plaisir en réalisant en famille un beau et grand voyage au bout du monde en partant découvrir 3 mois la Polynésie française .
Mais cette année, notre grand voyage de l’été sera plutôt axé sur « une quête de sens ». Un road trip d’un mois en famille dans notre bon vieux combi VW à travers la France afin d’aller à la rencontre de gens qui ont choisi une vie plus simple, plus respectueuse de la nature, ou l’esprit d’entraide et de partage ont une place primordiale mais aussi, ou l’éducation positive (à la Montessori) y est souvent présente. En résumé, nous allons chercher l’inspiration dans différents éco-lieux (écohameaux, ecovillages, communautés rurales, etc) afin de voir si ce mode de vie qui nous interpelle de plus en plus serait un bon choix. Voici donc dans cet article, une part assez intime de notre parcours mais aussi de notre réflexion sur les hypothétiques directions de vie que nous souhaiterions peut être emprunter pour notre tribu.
Une réflexion en nous depuis quelques années :
Notre Tour du Monde
En 2013-2014, nous avons saisi la chance de réaliser notre rêve de jeunesse en faisant notre tour du monde en famille. Ce grand voyage nous as permis de découvrir les beautés de la nature, les richesses du monde et de ses différentes cultures. Nous avons pu partager de précieux moments en famille avec notre fille, mais surtout, cette aventure nous aura permis de mieux nous connaitre et de nous enrichir autant humainement qu’intellectuellement.
Ce tour du monde nous aura confirmé la chance que nous avons d’être née en France. Mais il nous aura également ouvert encore plus les yeux sur les énormes inégalités qui régissent nos sociétés et sur le manque cruel d’attention porté par les hommes à la protection de notre environnement. Cependant, pour être un peu plus positif, ce voyage nous aura également montré qu’on peux être heureux en vivant plus simplement, sans forcément succomber aux mirages consuméristes de notre société occidentale. Une véritable révélation à plus d’un titre…
Un retour difficile
Jeunes trentenaires à l’époque, nous étions également partis sur les routes du monde en quête d’un hypothétique eldorado où nous expatrier et vivre en créant notre propre business. Après avoir rencontrer quelques expatriés français devenus entrepreneurs dans différents pays, comme en Australie, au Cambodge ou au Pérou, c’est en Colombie que nous avons failli craquer pour l’expatriation, tellement le pays nous avait plu et que l’on y sentait fortement des opportunités de développement. Sur la fin de notre mois et demi en Colombie, on nous avait même proposé un travail qui nous aurait surement permis de nous mettre « le pied à l’étrier » et voir si il était possible de réaliser ce rêve. C’était inattendu, très tentant et nous avons beaucoup réfléchi à cette opportunité qui s’offrait à nous.
Cela impliquait que j’aille pendant 6 mois à 8 mois minimum, travailler, vivre et commencer à chercher un maximum d’informations juridiques et administratives pour lancer notre projet dans ce pays. Pendant ce temps la, Vanessa aurait reprit en main notre maison, retrouvé un travail, mais aussi enfin scolariser notre petite Loulou.
Psychologiquement, le retour n’a pas été réellement facile pour nous. Et même encore plus pour moi à vrai dire (Arnaud). En effet, après quasiment 1 an sur les routes du monde, notre team familiale était si bien rodée à l’exercice du voyage au long cours, que je n’avais vraiment pas envie de reprendre si vite une vie sédentaire. Et pourtant, il le fallait bien : nous avions dépassé notre budget initial, le besoin d’argent commençait à se faire ressentir et surtout, nous nous devions de redonner un cadre un peu « normal » à notre fille. Alors, avec ce retour tumultueux, 3 jours avant la rentrée scolaire, avec nos doutes, et cette légère dépression qui planait sur moi, je ne me voyais vraiment pas me séparer de mes amours et me lancer seul au bout du monde dans un projet aussi exaltant que potentiellement risqué. Nous avons donc, abandonné un peu à contre cœur cette idée. Et pourtant, que de rêves et d’idéaux ressentis quand nous étions sur place, la bas, en Colombie.
A gauche : portrait de famille au Parc Tayrona en Colombie / droite : A Bogota, avec un des fondateurs et le gérant Français des hostels Massaya
Vanessa à vaillamment retrouvé un bon poste au sein d’une start-up digitale en pleine expansion, et moi, j’ai tant bien que mal repris mon activité de photographe pro freelance en tentant également de continuer à faire vivre notre blog. Mais ce retour chez nous à également été l’occasion d’expérimenter sans l’avoir réellement muri un autre style de vie…
La colocation, notre nouveau mode de vie
A plus d’un titre ce voyage nous aura vraiment fait évolué, et surtout moi encore (Arnaud). Par exemple, avant notre TDM, dans notre maison, nous avions 3 chambres : une pour nous, une pour Loulou et un bureau partagé pour le home office. Nous organisions des repas, des fêtes et autre, mais franchement, rare étaient les personnes ou amis qui dormaient chez nous. Et pour vous dire la vérité, étant un peu « ours » (comprenez par la que je n’aimait pas trop être dérangé dans mon quotidien) je ne cherchais pas trop non plus à héberger des gens. Mais durant ce TDM, avec la nécessité de respecter un budget serré, plus d’une fois nous avons dormis dans des « hôtels » peu chers ou en auberges de jeunesse (et même des fois dans des dortoirs avec Loulou). Au fil du temps, malgré une certaine forme de promiscuité dans ces différents lieux, nous avons vraiment commencé à apprécier toute les rencontres et les bons moments partagés avec beaucoup de ces voyageurs de passage. Et sinon, ce périple nous aura également permis de nous détacher encore plus de nos biens matériels et nous aura réellement rodé au manque de confort… ;)
A gauche : Nuits en hamacs au Parc Tayrona / droite : chambre chez l'habitant en Birmanie.
A gauche : Vanessa discutant avec un mineur de Potosi / droite : Session de "baloon modeling" au Cambodge.
A gauche : Auberge de Jeunesse en Colombie / droite : Hostel au Chili.
Pour ceux qui nous ont suivis durant le voyage, peut être vous rappelez vous que la famille a qui nous avions loué (en toute confiance) notre maison nous avait lâché au bout de 6 mois, nous obligeant en plein périple en Patagonie a remettre en cause la fin de notre voyage et plombant ainsi définitivement notre budget. Heureusement, après quelques jours interminables de prises de tête, « d’appels à l’aide » sur les réseaux sociaux et d’annonces immobilières publiées à distance, une ancienne collègue de boulot et amie, sans CDI et dans l’incapacité de se loger correctement nous sauvait la mise en emménageant chez nous. A notre retour, nous n’avions plus de travail, peu d’économies devant nous et Maud, notre nouvelle colocataire n’ayant toujours pas moyen de se loger facilement, c’est ainsi que nous avons commencé sans réellement y avoir réfléchi à vivre en colocation. Après 2 ans avec elle, une autre coloc’ est venue, puis un autre, et finalement, nous avons mis en location sur Air Bnb nos chambres. Outre l’aspect financier non négligeable (nous permettant de voyager plus d’ailleurs), nous avons adoré recevoir et rencontrer tout ces voyageurs du monde entier. Ces rencontres étaient forts enrichissantes pour tous et même pour Loulou.
Mais dans le temps, même si certains restaient 3 semaines ou 1 mois, il fallait continuellement nettoyer, laver, accueillir ou renseigner nos hôtes. De plus, les nuits avec Max n’étant pas de tout repos, nous avons décidé de tout changer et reprendre sur du moyen-long terme des colocataires choisis avec soins. Après quelques travaux, une chambre de plus était libre et deux autres crées. Et c’est ainsi que depuis plusieurs mois, notre maison familiale est devenue une sorte « d’auberge espagnole » des plus agréable ou une douce vie « en communauté » s’est installée dans les respect de tous, la bonne humeur et le partage. Nous avons réduits notre espace de vie, notre confort matériel, mais en échange, nous avons également réduit nos dépenses et gagné en relations humaines. Pour le coup, vous l’aurez compris, tout se passe au mieux avec nos trois colocs’ et en plus, ils sont réellement adorables et attentionnés avec nos petits.
Notre "prise de conscience"
Depuis notre retour de TDM, nos regards sur le monde, la planète et notre société s’est bien aiguisé. Beaucoup plus sensibilisés à l’écologie et l’avenir de nos enfants, nous avons commencé sous l’impulsion positive de Vanessa à essayer de réduire quotidiennement à notre petit niveau notre impact sur la planète (Merci "la famille zero-déchets " par ex).
Des gestes simples et souvent si logiques, comme faire attention à l’électricité, à l’eau, fabriquer certains produits ménagers et autre au lieu d’acheter des produits industriels souvent néfastes pour l’environnement (et même des fois pour la santé). Nous avons réduit de moitié notre consommation de viande, nous refusons les sac plastiques en magasin et essayons le plus possible d’acheter en vrac, nous réparons, transformons ou recyclons un maximum d’objets, nous ne succombons pas à la tentation d’avoir le dernier gadget techno ou les fringues à la mode et surtout nous achetons pratiquement TOUT d’occasion. Pour ceux qui nous suivent un peu depuis longtemps, vous savez bien que nous préférons largement offrir de beaux souvenirs à nos enfants que de leur acheter des biens matériels.
Nous sommes loin d’être parfaits dans nos actions quotidiennes, mais comme le dis très justement le slogan du mouvement « Les colibris » nous faisons « notre part » du mieux que nous pouvons avec l’espoir que de plus en plus de gens s’éveillent et fassent de même…
Nous aussi, on pourrait nous qualifier de "bobos" (Lire article ici) ... Ok, si tu veux; mais hélas, on ne fais pas encore aussi bien qu'eux.
Venant tout deux de milieux modestes, depuis 17 ans que nous sommes ensemble avec Vanessa, nous avons toujours travaillé comme des dingues afin de nous offrir la meilleure vie possible. Nous avons eu des périodes modestes et d’autres plus fastes ou nous dépensions nos sous sans vraiment les compter. Mais gagner pas mal d’argent sans avoir réellement de temps pour le dépenser, est-ce finalement un aboutissement?
D’une certaine manière, « faut-il perdre sa vie à la gagner ? » Sujet de philosophie du bac : vous avez 2 heures ;)
Au fil des années, nous avons ressentis de plus en plus en nous une dualité intérieure entre l’envie de réussir professionnellement, vivre à 100 à l’heure ou vivre plus sobrement en levant le pied, en profitant des petites joies simples de la vie et surtout, avoir plus de temps pour voir nos enfants grandir.
« La sobriété est une option heureuse qui produit une vie allégée, tranquille et libre. Le bonheur n'est pas dans la possession, l'avoir, mais dans l'être » (Pierre Rabhi)
Plutôt idéalistes et rêveurs, nous avons cherché un sens à tout cela et de vous à moi, depuis quelques temps, nous avons l’intime conviction que cette société ou la bio-diversité et l’humain ne sont pas respecté fonce inéluctablement dans le mur (énergie / écologie / économie)… Ne serait-ce pas enfin le moment de devenir de véritables acteurs du changement utopique qui commence à nous habiter de plus en plus?
Nous vous laissons méditer sur ces citations qui nous parle et qui résume assez bien notre état d'esprit du moment :
« L'économie actuelle est en train de nous faire perdre le sens d'être, de faire et de vivre ensemble. » (Riccardo Petrella)
« Il nous faudra répondre à notre véritable vocation, qui n'est pas de produire et de consommer jusqu'à la fin de nos vies, mais d'aimer, d'admirer et de prendre soin de la vie sous toutes ses formes. » (Pierre Rabhi)
Même si nous avons pleinement aimé et profité des joies et des commodités que les grandes villes comme Paris procurent, nous avons toujours adoré la nature et la campagne. Et Loulou rêve depuis peu d’avoir plein d'animaux, et surtout des chevaux… ;) Alors, pourquoi pas une petite ferme autosuffisante en permaculture ?
Si vous êtes un peu perspicace, ne voyez vous pas un peu le cheminement se dessiner? Si oui, vous comprendrez bien alors, que suite à notre tour du monde, notre nouveau mode de vie partagé et notre prise de conscience globale sur nos vies et sur notre société nous amène irrémédiablement à l’envie de vivre différemment… Alors, avant de nous emballer et éventuellement prendre un virage plutôt "radical" par rapport à notre mode de vie actuelle, il nous semblait intéressant de commencer à aller voir un peu comment cela se passe ailleurs...
Coopératives d’habitats, éco hameaux, éco villages et permaculture :
Vivre en "communauté"
Il y a 2-3 ans, nous avons commencé à entendre parler des coopératives d’habitats. Suivant la tendance de l’économie sociale et solidaire, cette nouvelle forme juridique permet à ses membres d’accéder collectivement à la propriété via des parts sociales. Ce système semble avoir de nombreux avantages économiques, sociaux et environnementaux : Accès à la propriété au plus grand nombre même modestes, mixité sociale et générationnelle, sortie du système spéculatif immobilier, gouvernance démocratique (1 part = 1 voie), création de lien social entre les habitants, mutualisation des espaces et des moyens, etc… Nous développerons pas plus ici les avantages de ce nouveau mode de vie, mais n’hésitez pas, si vous êtes curieux à taper « coopératives d’habitats » dans votre moteur de recherche afin d’en savoir plus.
Vue aérienne de l'eco village Sainte Camelle
Cette introduction un peu théorique nous permet donc d’en venir aux éco-lieux qui ne sont finalement qu’une « déclinaison souvent plus rurale et engagée écologiquement parlant » et qui peuvent utiliser ce nouveau cadre juridique dans leur réalisation.
Le terme « eco-village » est en réalité un terme générique qui recouvre beaucoup de projets différents des uns des autres mais avec une approche similaire au départ : « Un éco-village est un lieu de vie où se mêlent concrétisation pratique d’une utopie et mise en pratique d’un idéal commun. C’est un ensemble d’habitations écologiques et de personnes qui placent l’Homme et l’environnement au centre des priorités. »
Petite définition que l’on trouve assez juste, reprise du site internet de nos amis « Toits Alternatifs » que nous vous conseillons vivement de découvrir si vous commencez à vous sentir à l’étroit dans votre routine quotidienne.
Cependant, attention, vivre en eco-village ne veut pas dire systématiquement vivre en autarcie en mode « baba cool » et rejeter tout aspects liés à la société moderne ou au capitalisme. Et même si certaines communautés plus extrêmes peuvent être assez fermées ou radicales, ce n’est pas forcément ce à quoi nous tendons.
Ici la photo de la "tribu" de l'eco-lieu bilingue "Grain and Sens" (en création actuellement)
Alors, pourquoi créer et vivre dans un eco-hameau ? Et quelles sont les valeurs que nous pourrions y trouver ? Il existe de plus en plus de site web développant le sujet, mais nous avons trouvé que ce petit site québécois les avait assez bien synthétisés :
Pourquoi vivre dans eco-hameau ? Quelles sont les valeurs de base communes aux habitants d’ecohameau ?
En tout cas, globalement, les objectifs et idéaux qui transpirent de tous les projets auxquels nous nous sommes intéressés nous touche, nous inspire et des fois même, nous font rêver.
A titre d'exemple, découvrez ici un article de Slate sur L'habitat partagé via l'éco-hameau «Habiterre».
La permaculture
Quand on commence à s’intéresser à ces sujets (eco-lieux, autonomie, etc) très rapidement on en vient à se pencher sur la permaculture. Les deux vont souvent de paire. D'ailleurs, au moment ou je vous écris ces lignes, nous revenons de Normandie après avoir découvert et visité les très beaux jardins de la ferme biologique du Bec Hellouin.
Vous ne connaissez pas du tout la permaculture ? Alors voici la définition très juste donnée par la ferme du Bec Helouin :
"La permaculture permet de concevoir le ferme comme une entité vivante, formant un tout au sein duquel chaque élément interagit avec les autres. Elle fonctionne en boucle, les déchets de l'un servent de ressource à l'autre. Chaque éléments remplit plusieurs fonctions, et le tout est plus que la somme des parties. Ensemble, ils forment un paysage comestible, tout à la fois naturel, productif, résiliant et autonome"
Ce qui est le plus fou dans ce retour à s'inspirer des modèles de la nature et s'éloigner de la culture intensive, c'est que cette ferme expérimentale en partenariat avec l'INRA à prouvé depuis bien longtemps qu'une micro-agriculture allant dans le sens de la vie et cultivée à la main peux être plus productive que l'agriculture chimique et mécanique tout en respectant les eco-systèmes. En effet, Perrine et Charles hervé-Gruyer arrivent sur 1000m2 à produire autant d'abondance que sur un hectar (10000m2)... Cela laisse à réfléchir non ? En tout cas, nous, ça nous interpelle fortement. Et si vous souhaitez en savoir plus, nous vous conseillons d'acheter leur livre "Permaculture, guérir la terre, nourrir les hommes " que Vanessa lit avec appétence depuis quelques jours, et que je lirais à mon tour ensuite.
Notre voyage de cet été
Demain ou après demain, nous partirons avec les enfants sur les routes de France afin d'aller à la rencontre de quelques uns de ces lieux ou nous pensons trouver de l'inspiration et pourquoi pas, quelques réponses à nos questions. Comme d'habitude, une grande part "d'improvisation maitrisée" va régir notre périple, et nous espérons que les "communautés" que nous souhaitons rencontrer auront un peu de temps à partager avec nous.
D'ailleurs, si vous connaissez de beaux lieux de vie sur notre parcours, n'hésitez à les partager avec nous en commentaire...
Tout n'est pas totalement calé, mais voici dans les grandes lignes notre itinéraire de cet été
Évidemment, durant cette "quête estivale", il va falloir également faire plaisir et distraire Loulou et Max, et nous comptons bien aussi profiter des atouts exceptionnels des belles régions que nous devrions traverser comme les pays de la Loire, l'Aveyron, l'Ardèche, les Cévennes, la Lozère et peut être même un peu la Suisse si nous ne nous égarons pas trop au grès des belles rencontres que nous ferons sur la route ;)
Il nous faudra surement encore du temps afin de réfléchir a tout cela, mais nous espérons réellement pouvoir un peu nous projeter dans le futur grâce a ce Road trip familiale en quête de sens ;)
Et vous, avez vous déjà eu envie de prendre un autre chemin de vie pour votre tribu ?
Bonjour
Merci pour votre chemin de vie.
Hello M’sieur Dame
Pour avoir parcouru un peu l’Aveyron cet été, sans parler forcément de vie communautaire, il y a aussi des lieux de vie plus solidaires, plus éclairés écologiquement et humainement. Visiter le « Lieu-Dit », café/restaurant associatif de Ste Affrique, rencontrer Libéro sur le marché ou Solveig à la Couvertoirade ou Michel au Domaine de Gaillac peut vous donner de belles idées.
Bon trip à vous
Très intéressant de lire vos réflexions ! Comme vous le savez, on se pose les mêmes questions avec Victoria, même si pour le moment nous ne sommes que 2. On vient de passer 4 jours en Bretagne à découvrir des chemins de vie bien loin de nos préoccupations d’hyper actifs parisiens. On vous souhaite De belles rencontres.
Merci Rémi ! Si vous le souhaitez, on pourra échanger sur ce sujet à ton retour de voile avec Laurent Et puis, ca nous ferait plaisir de rencontrer Miss Victoria… bises